« Foncier. Pour chaque délibération, le gouvernement, le préfet ou le sous-préfet a un quota et souvent il vend avant affection ou retraite. Monsieur le président de la République, votre administration a-t-elle droit à une parcelle ? Vive le Sénégal !».
En publiant ce texte sur sa page Facebook, Oudy DIALLO était probablement loin d’imaginer ce qui allait lui tomber sur la tête. En effet, quelque temps après, le 26 novembre dernier, l’environnementaliste est cueilli par les forces de l’ordre, direction la prison.
Poursuivi pour diffamation de l’administration territoriale, Oudy DIALLO a fait face à un juge qui l’a relaxé.
WALFNet