Journal de Mariage
N’attend pas le bonheur venir en toi, crée-le plutôt. La vie est un combat à durée indéterminée. Faut se sentir toujours heureux. Même si on ne l’est pas, ce n’est pas de la triche mais l’expression d’un besoin nécessaire pour vaincre le stress nuisible à la santé de l’homme. Créer une ambiance de détente dans ton environnement que ce soit conjugal, professionnel, amical … cherche à être heureux au mieux possible.
William Shakespeare disait : « Je me sens toujours heureux, savez-vous pourquoi? Parce que je n’attends rien de personne; attendre fait toujours mal. Les problèmes ne sont pas éternels, ils ont toujours une solution, la seule chose qui n’a pas de remède est la mort. Ne permettez à personne de vous insulter, de vous humilier ou de diminuer votre estime de soi.
Nous devons être forts et ressusciter des chutes que la vie nous impose, pour nous rappeler qu’après le sombre tunnel plein de solitude, de très bonnes choses viennent “Il n’y a pas de mal qui ne passe pas au bien”. C’est pourquoi tu apprécies la vie parce qu’elle est très courte, alors aime-la, sois heureuse et souris toujours, vis seulement intensément pour toi-même et pour toi-même, souviens-toi des propos tout le temps ».
La meilleure relation n’est pas celle d’une personne parfaite, mais celle dans laquelle chaque individu apprend à vivre, avec les défauts de l’autre et admirant ses qualités . Il faut valoriser ce que l’on a, pour ne pas se plaindre un jour après l’avoir perdu ».
- Si vous voulez être heureux, rendez quelqu’un heureux,
- Si vous voulez recevoir, donnez un peu de vous-même,
- Entourez-vous de bonnes personnes et soyez l’un d’entre eux.
Rappelez-vous, parfois, c’est quand vous vous y attendez le moins, qu’on vous fait vivre de bonnes expériences!
Et comme dit toujours William Shakespeare, « ne gâche jamais ton présent pour un passé sans avenir ».
Une personne forte sait comment garder sa vie en ordre et prend garde pour que l’ordre demeure.
Même avec des larmes dans les yeux, elle s’adapte pour dire avec un sourire, je suis bon.
Par Mme NIASS Ndeye Coumba THIAM