Pour mesurer le degré de rivalité entre «Fennecs» d’Algérie et «Aigles de Carthage» en football, il faut écouter les commentaires des journalistes des deux pays. A la veille de leur confrontation de demain, jeudi, ces derniers font montre d’une animosité indescriptible qui dépasse l’entendement. Dans la salle de presse, ils se regardent en chien de faïence. Ils se saluent à peine.
Cheikh Tidiane GOMIS (Envoyé spécial)