La réplique n’a pas tardé après les sorties de membres de l’opposition sur le dialogue. Maodo Malick Mbaye soutient : «On ne peut forcer personne à venir dialoguer. S’ils ne veulent pas participer, c’est leur problème. Le président Macky Sall a fait son devoir en appelant à des concertations. S’ils (Sonko et Mimi Touré) ne veulent pas rejoindre le dialogue, qu’ils n’influencent pas les autres. Khalifa Sall n’a pas participé aux dernières élections, mais cela ne l’a pas empêché d’être un homme politique responsable, averti et réfléchi». Dans le même sillage, Birame Faye et ses camarades de Task force républicaine estiment que le Sénégal est un très grand pays qu’aucune «tentative de subversion commanditée» ne saurait ébranler. «Aucune force obscure ne pourra saper le développement de notre cher pays ancré dans la paix, la concorde et le dialogue permanent. Au nom des générations actuelles et futures, le Président Macky Sall a fini de mettre notre cher pays sur l’orbite de l’émergence avec un bilan incontestable dans tous les secteurs de la vie socio-économique», ajoute Cheikh Bakhoum qui a lu la déclaration liminaire.
Magib GAYE