L’activiste Hannibal Djim connu sur les réseaux sociaux pour les cagnottes qu’il lance pour les personnes dans le besoin à travers la plateforme monétique Kopar Express a été mis aux arrêts dans le cadre de l’affaire dite des « forces spéciales ». En même temps, ladite plateforme est accusée de « fraude fiscale et de blanchiment de fraude fiscale ». des accusations balayées d’un revers de la main par Kopar Express, qui s’est fendu d’un communiqué pour préciser être « à jour de ses obligations déclaratives et de paiement en matière fiscale et sociale ».
« Aucun fait de fraude fiscale ne nous a jamais été notifié. Kopar Express est une entreprise sénégalaise fondée par de jeunes sénégalais et remplissant toutes les conditions légales et réglementaires d’ouverture et d’exercice. Depuis sa création, ses services sont adoptés par toutes les couches de la population sénégalaises car répondent à leurs besoins et adaptés au contexte national et sous-régional. Nous tenons à rassurer l’ensemble de nos partenaires et les utilisateurs de nos plateformes. KOPAR Express n’est mêlée ni de près ni de loin à une opération frauduleuse ou de blanchiment de quelque nature que ce soit. Toutes les transactions financières effectuées depuis notre plateforme sont sécurisées, traçables et transparentes à la provenance comme à la destination », renseigne le document.
Toutefois Kopar Express tient à préciser qu’avant son entrée dans le marché, les Sénégalais utilisaient des plateformes de collecte de fonds étrangères.