Le coronavirus a bouleversé tant de choses. Mais de là à ce que des clandestins maghrébins déboursent jusqu’à 5.000 euros pour retourner chez eux, c’est le comble. Il faut dire que l’Espagne est passée en quelques semaines du statut d’eldorado et d’espoir à celui de calvaire pour les clandestins.
A l’heure du coronavirus qui sévit durement en Espagne, certains migrants clandestins maghrébins font tout pour retourner chez eux.
C’est le cas notamment des Harragas algériens et marocains qui multiplient les retours ces derniers temps, fuyant notamment la pandémie qui fait des ravages en Europe, et particulièrement en Espagne, devenue le pays européen ayant enregistré le plus grand nombre de personnes contaminées par le coronavirus avec plus de 230 000 cas conformés et plus de 23.500 morts. C’est aussi le cas de clandestins tunisiens vivant en Italie qui essayent de rentrer chez eux pour échapper à la pandémie.
Au début du mois d’avril, selon algérie360.com, trois embarcations d’immigrants clandestins avaient été interceptés à l’est d’Oran avec un fait inhabituel, des Algériens qui reviennent d’Espagne. Des cas similaires sont aussi signalés au Maroc.
Et le billet retour aussi, comme celui de l’aller, coûte cher, sinon plus. En effet, selon le journal espagnol El Pais, certains migrants clandestins algériens et marocains ont déboursé jusqu’à 5.000 euros, toutes les économies durement épargnées, pour embarquer sur des embarcations de fortune, et au risque de leur vie, afin de retourner au bercail.
Le coronavirus a bouleversé tant de choses. Mais de là à ce que des clandestins maghrébins déboursent jusqu’à 5.000 euros pour retourner chez eux, c’est le comble. Il faut dire que l’Espagne est passée en quelques semaines du statut d’eldorado et d’espoir à celui de calvaire pour les clandestins.
A l’heure du coronavirus qui sévit durement en Espagne, certains migrants clandestins maghrébins font tout pour retourner chez eux.
C’est le cas notamment des Harragas algériens et marocains qui multiplient les retours ces derniers temps, fuyant notamment la pandémie qui fait des ravages en Europe, et particulièrement en Espagne, devenue le pays européen ayant enregistré le plus grand nombre de personnes contaminées par le coronavirus avec plus de 230 000 cas conformés et plus de 23.500 morts. C’est aussi le cas de clandestins tunisiens vivant en Italie qui essayent de rentrer chez eux pour échapper à la pandémie.
Au début du mois d’avril, selon algérie360.com, trois embarcations d’immigrants clandestins avaient été interceptés à l’est d’Oran avec un fait inhabituel, des Algériens qui reviennent d’Espagne. Des cas similaires sont aussi signalés au Maroc.
Et le billet retour aussi, comme celui de l’aller, coûte cher, sinon plus. En effet, selon le journal espagnol El Pais, certains migrants clandestins algériens et marocains ont déboursé jusqu’à 5.000 euros, toutes les économies durement épargnées, pour embarquer sur des embarcations de fortune, et au risque de leur vie, afin de retourner au bercail.
La crise économique qui devrait suivre n’offre aucune perspective pour ces jeunes qui rêvaient de l’eldorado espagnol. Du coup, nombre d’entre eux pensent qu’il vaudrait mieux rentrer au pays où la pandémie est pour le moment contenue que de risquer sa vie en restant sur le sol ibérique sans perspective.
Cette situation est aussi valable pour les migrants clandestins tunisiens d’Italie et marocains d’Espagne qui déboursent des sommes importantes afin de renter dans leur pays à bord de bateaux pneumatiques.
Le360afrique