L’avocat et homme politique burkinabè a été placé en garde à vue, vendredi, à l’issue d’une audition devant le procureur militaire.
Libéré dans la soirée du 10 juillet au terme de plusieurs mois de bataille judiciaire, le cofondateur du Balai citoyen, se retrouve de nouveau derrière les barreaux.
Son mouvement, Servir et non se servir, dénonce un « acharnement politico-judiciaire ».
Me KAM avait été arrêté une première fois dans la nuit du 24 au 25 janvier à l’aéroport de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso, par des hommes en tenue civile, puis détenu dans les locaux de la sûreté d’Etat pendant quatre mois
Liboire SAGNA