Le cap d’un développement industriel sera fixé dès son accession à la magistrature suprême. Présidente de la République, Anta Babacar Ngom s’engage à créer 1.000 unités industrielles, qui dépassent les frontières de Dakar et au profit des terroirs. Une industrie sur les bons rails avec un hub national du réseau ferroviaire à partir de Thiès. Une vision locale de l’industrie ouverte sur le continent africain.
L’enjeu de l’industrialisation de l’économie du pays, est l’un des socles de son engagement politique et au service exclusif des sénégalais. Pour la Présidente Anta Babacar Ngom, impossible de développer le SENEGAL sans une industrie solide et créatrice de richesses. Mais quel chemin emprunter pour y arriver ? La Candidate le connait en tant que capitaine d’industrie.
Présidente de la République, Anta Babacar Ngom s’engage à libérer le potentiel de croissance et de transformation industrielle du pays avant 2029. Le cap sera fixé dès son accession à la magistrature suprême en décrétant, les dix prochaines années, « décennie du développement industriel du Sénégal ». Elle initiera un plan directeur ambitieux pour l’industrialisation transversale à tous les secteurs d’activités. Un chiffre va servir de repère et de baromètre. Anta Babacar Ngom va doubler la valeur ajouter du secteur industriel actuellement à 3.639 milliards de francs pour le porter à 10.000 milliards, accompagné d’importants ajustements budgétaires. Elle-même, championne d’industrie nationale, Anta Babacar Ngom , prône une préférence nationale assumée qui sera marquée par une politique volontariste et dynamique, destinée à soutenir les entreprises sénégalaises, à créer des milliers de champions nationaux. La preuve, Présidente de la République, elle accordera au moins 60% de la commande publique aux entreprises sénégalaises. Voilà, une preuve supplémentaire de sa vision « LOCALE DU DÉVELOPPEMENT INDUSTREL ! »
Elle prévoit la création d’au moins 1.000 unités industrielles pour réduire leurs importations de 60%. Elle créera 7 pôles industriels spécialisés dans le pays pour renforcer leur empreinte et leur influence économiques. Des unités porteuses d’une économie nationale mais ouvertes au continent à travers le ZLECAF (Zone de Libre-Échange Continentale Africaine). L’objectif, booster l’exportation de leurs produits manufacturés, mieux stimuler le commerce et la croissance, réduire la pauvreté et impliquer davantage les jeunes et les femmes dans l’effort d’industrialisation nationale et sous régionale. Sur ce chemin qui mène vers ce développement local du secteur industriel, aucun secteur ne sera laissé en rade. Anta Babacar Ngom s’engage à revitaliser leur secteur agro-alimentaire et leurs industries traditionnelles telles que le bois, la peau, les textiles et le cuir.
Elle mise sur un développement à grande échelle de PME et de PMI pour assurer la transformation des produits primaires au plan local et pour plus de plus de valeur ajoutée et de richesse pour les terroirs. Mais comment parler d’industrie sans tenir en compte : la digitalisation ? L’ère de l’industrie 4.0 : elle investira dans les nouvelles technologies, telles que l’intelligence artificielle, la robotique, et les énergies renouvelables. Cette démarche favorisera une industrialisation intelligente et durable, qui placera le Sénégal à l’avant-garde du progrès technologique en Afrique.
Elle croit en l’industrie ! C’est son ADN ! C’est dans sa culture économique ! C’est ça pour la vraie émergence du SÉNÉGAL !!!
À travers cette stratégie, elle vise à stimuler tous les secteurs d’activité, à travers la création des conditions d’éclosion d’entrepreneures et d’entrepreneurs sénégalais capables de soutenir la productivité et de propulser leur nation vers de nouveaux sommets de prospérité et de développement. Une vision qui tranche avec l’état actuel du secteur industriel sénégalais. Un secteur qui contribue à hauteur de moins de 20% au PIB, démontre une croissance insuffisante et un manque flagrant d’innovation. Une vision qui s’arrête à Dakar pour ne pas dire à Diamniadio. Une concentration des activités industrielles dans la capitale sénégalaise, un déséquilibre territorial et une distribution inégale des opportunités économiques. Le Plan Sénégal Émergent, présenté comme un moteur à l’industrialisation, resté un slogan, a échoué dans la création d’emplois. Et ce, malgré les ressources et le potentiel humain du pays. Douze ans après, l’industrie sénégalaise est en difficulté, affectée par un manque de compétitivité, un défaut de diversification et un manque d’investissements, aggravés par des infrastructures insuffisantes, une bureaucratie lourde, la surtaxation, une pénurie de matières premières et un déficit de formation professionnelle. MAIS ANTA ÇA ? ÇA VA CHANGER !
C’est pourquoi, elle s’engage à investir massivement dans leurs infrastructures telles que les ports, routes, et réseaux de communication, pour assurer une connectivité interne et externe. Le réseau du chemin de fer sera mis sur les bons rails avec un national à partir de Thiès. Une boucle nationale sur les rails de Cap Skiring à Tambacounda puis Thiès et Dakar. Elle ralliera Saint-Louis, Podor, Matam, Linguère, et Louga, en couvrant les zones économiques spécialisées. Un pays ne peut consolider son industrie que s’il atteint une puissance électrique nationale couvrant l’ensemble du territoire national. Tirant parti des futures ressources pétrolières et gazières du Sénégal, son ambition est donc d’atteindre 14 gigawatts en 2029, grâce à un mix électrique ambitieux associant le renouvelable à une douzaine de centrales électriques à cycle combiné gaz naturel. La productivité industrielle reposera sur le renforcement des infrastructures de stockage et de commercialisation des productions dans les filières de l’agriculture, de l’élevage, de la pêche et des ressources naturelles. Elle garantira l’approvisionnement des industries locales en réservant un quota minimal des matières premières extraites au Sénégal à la production locale.
Elle s’engage à soutenir leurs entrepreneurs et industriels sénégalais, à travers une gamme complète de mesures, allant des politiques de protectionnisme temporaire, aux avantages fiscaux, aux subventions et prêts bonifiés, à la prise de participation directe, à la facilitation de partenariats techniques et commerciaux ou au soutien financier pour l’acquisition de brevets, licences, et équipements.
Présidente Anta Babacar Ngom fera de la maîtrise des recettes, des dépenses, et de l’endettement ainsi que la lutte contre la corruption, une priorité absolue de sa politique. Outre les mécanismes classiques d’investissement ainsi que les revenus issus de l’exploitation du pétrole et du gaz. Elle envisage de faire appel à l’expertise et au financement de leur diaspora, élément essentiel dans la réalisation de cette ambition grandiose. Le volet formation, comme moteur industriel, est aussi au cœur de sa vision.
Elle s’engage à investir dans l’éducation et la formation professionnelle pour doter leur jeunesse des compétences nécessaires à l’ère de l’industrialisation. Elle mettra en place un Centre national d’Innovation industrielle et de Recherche Technologique dédié à l’innovation de leur pays, contribuant à la croissance économique et au progrès technologique, à la compétitivité industrielle, à la recherche et au transfert de technologie. Mais un progrès qui prend en compte le contexte des changements climatiques. Et d’ailleurs, elle a son intention de fabriquer une voiture électrique au Sénégal d’ici 2029 fixe le cap de son ambition pour l’industrialisation de leur pays.
Elle sera le porte-voix de cette génération décomplexée, libre de tout dogme idéologique, elle sera l’incarnation du pragmatisme pro-Sénégal. Leur stratégie industrielle ne se limite pas à la simple création d’usines et de postes de travail ; elle est l’expression de leur aspiration à une société plus équitable, où chaque Sénégalais peut bénéficier des fruits de leur croissance. Ils visent une industrialisation intégrée, qui valorise leurs ressources naturelles, encourage l’innovation, et crée des milliers d’entrepreneurs pour des millions d’emplois de qualité, pour jeunesse retrouvée, a bord d’un Sénégal des opportunités. Loin d’un pays dont le désespoir qui embarque sa jeunesse dans les vagues de l’émigration irrégulière.
RESUME
Créer les pôles régionaux de développement agricole et promouvoir les filières agricoles phares et faire du Sénégal une puissance agricole africaine d’ici 2029
Proclamation de la « décennie du développement industriel du Sénégal 2024-2034 » avec un plan directeur ambitieux pour toucher tous les secteurs de l’industrie.
Doublement de la valeur ajoutée du secteur de l’industrie sénégalaise estimée à 3.639 milliards de francs CFA par an, pour le porter à 10.000 milliards.
Promotion de la préférence nationale pour soutenir les entreprises sénégalaises, afin de créer des milliers de champions nationaux pour qu’à leur tour, ils créent des millions d’emplois durables.
Allocation d’au moins 60% de la commande publique aux entreprises sénégalaises dans tous les marchés à compétition internationale
Création de 7 pôles industriels spécialisés à travers le pays pour renforcer notre empreinte et notre influence économiques. Consolidation de la posture du Sénégal pour une meilleure intégration dans la ZLACAF.
Soutien aux entrepreneurs et industriels sénégalais, à travers une gamme complète de mesures, allant des politiques de protectionnisme temporaire, aux avantages fiscaux, aux subventions et prêts bonifiés, à la prise de participation directe, à la facilitation de partenariats techniques et commerciaux ou au soutien financier pour l’acquisition de brevets, licences et équipements.
Restructuration des usines d’État en difficulté
Intégration de l’industrie 4.0 par l’investissement dans les nouvelles technologies, telle que l’intelligence artificielle, la robotique, et les énergies renouvelables, pour moderniser nos industries.