Assimi GOÏTA, le président en fonction au Mali, se rendra en Russie pour une visite officielle du 22 au 26 juin 2025. Ce voyage, axé sur l’intensification de la collaboration bilatérale, représente une avancée supplémentaire dans le processus de rapprochement stratégique entre Bamako et Moscou.
Le président malien, accompagné de plusieurs membres de son gouvernement, prévoit de converser avec les responsables russes sur des questions d’importance, notamment dans les domaines de l’énergie, de l’agriculture et de la coopération militaire et technique. Ces discussions devraient aboutir à la signature d’accords.
Cette visite intervient dans le prolongement du sommet Russie-Afrique de 2023, au cours duquel le président Vladimir POUTINE avait désigné le Mali comme un partenaire clé de la Russie en Afrique de l’Ouest. Depuis lors, les relations entre les deux pays se sont intensifiées, notamment sur le plan sécuritaire.
Elle devrait également renforcer les relations déjà établies dans le secteur militaire, alors que Bamako continue sa démarche d’autonomie vis-à-vis des partenaires occidentaux traditionnels, et opte pour une diversification de ses alliances.
Rémi SOUSSOAssimi GOÏTA, le président en fonction au Mali, se rendra en Russie pour une visite officielle du 22 au 26 juin 2025. Ce voyage, axé sur l’intensification de la collaboration bilatérale, représente une avancée supplémentaire dans le processus de rapprochement stratégique entre Bamako et Moscou.
Le président malien, accompagné de plusieurs membres de son gouvernement, prévoit de converser avec les responsables russes sur des questions d’importance, notamment dans les domaines de l’énergie, de l’agriculture et de la coopération militaire et technique. Ces discussions devraient aboutir à la signature d’accords.
Cette visite intervient dans le prolongement du sommet Russie-Afrique de 2023, au cours duquel le président Vladimir POUTINE avait désigné le Mali comme un partenaire clé de la Russie en Afrique de l’Ouest. Depuis lors, les relations entre les deux pays se sont intensifiées, notamment sur le plan sécuritaire.
Elle devrait également renforcer les relations déjà établies dans le secteur militaire, alors que Bamako continue sa démarche d’autonomie vis-à-vis des partenaires occidentaux traditionnels, et opte pour une diversification de ses alliances.
Rémi SOUSSO