La publication de la décision du Conseil Constitutionnel sur la loi interprétative après saisine de l’opposition a été l’occasion pour le président du parti PASTEF de se prononcer.
Dans une longue déclaration écrite, Ousmane SONKO qui motive sa sortie par la réaction des « résidus d’opposition sénégalaise » qui se sont précipités, « dans une tentative désespérée de récupération politicienne, de conclure à un revers juridique du groupe parlementaire PASTEF-LES-PATRIOTES », a aussi révélé que le lui et le chef de l’Etat ont été blanchis par le Doyen des juges, Abdou Aziz DIALLO.
À les croire les deux jugements publiés sur sa page Facebook, « cette position du Conseil est complétée par l’ordonnance de non-lieu, rendue par le Doyen des juges d’instruction le 27 janvier 2025, qu’il concluait ainsi : par ces motifs, vu les articles 169, 6 et 171 du code de procédure pénale, la loi 2024-09 du 13 Mars 2024; constatons l’extinction de l’action publique pour cause d’amnistie, disons n’y avoir lieu à suivre davantage contre Ousmane SONKO et Bassirou Diomaye FAYE des chefs d’inculpation susvisés ».
Khadyja NDIAYE