Alors qu’elles ont jusqu’en août 2025 pour libérer les logements situés à la Cité Fayçal qu’elles occupent depuis 2008, les 52 familles ciblées par la SOGEPA ont obtenu un soutien de taille. Il s’agit du président du Think Tank Afrika Jom Center.
Selon Alioune TINE, «dans la récupération des biens immobiliers de l’État, il est essentiel de faire preuve de discernement, surtout dans le cas de la Cité Fayçal. Il ne faut pas revenir sur des droits acquis ». Selon le Collectif qui a saisi le militant des droits de l’Homme, cette décision du directeur de la SOGEPA, Elimane POUYE n’a pas de base légale.
À l’en croire, « il faut que la notion de continuité de l’État ait un sens. Ce n’est pas la première fois que des hauts fonctionnaires bénéficient de tels avantages. Cela existait déjà sous Senghor ».
Khadyja NDIAYE