Alors que le milieu de la lutte est en crise après la mort d’un homme à la suite du combat Ama BALDÉ-Franc, la police a décidé de ne plus sécuriser les combats de lutte. Sans préciser une date pour la reprise. Ce qui signifie, selon le règlement, qu’il n’y aura plus de combat de lutte.
Acteurs culturels, promoteurs de combats ont tiré sur les autorités pour dénoncer une volonté de faire disparaître la lutte. Sur ces entrefaites, le ministre de l’Intérieur, Jean-Baptiste TINE, a accordé une audience à Aziz NDIAYE et Baye NDIAYE ce 20 février.
Promoteurs de lutte, les deux hommes ont eu un tête-à-tête avec le chef de la sécurité nationale. Cependant, les sujets abordés lors de cet entretien n’ont pas été dévoilés.
Khadyja NDIAYE