La journée sans presse décrétée mardi 13 août par les patrons de presse à cause de ce qu’ils appellent un “harcèlement fiscal” a fait réagir acteurs de la société civile, journalistes et politiques.
Pour la parlementaire Adji Mbergane KANOUTÉ, il est vrai que les acteurs doivent de retrouver sur une table de discussion pour «trouver des mesures fortes et urgentes pour rassurer les entreprises de presses et non des pressions » parce que quand une entreprise n’arrive plus à payer des salaires, on ne peut pas trouver des ressources pour payer des impôts.
Cependant, il est du rôle de la presse ajoute-t-elle, « pour trouver son salut, de se remettre en cause, de réinventer sa gestion en s’adaptant aux nouvelles technologies ».
Pour elle, la politique digitale de l’Etat devrait pouvoir aider la presse dans ce sens car, «c’est cela sauver la presse et sauver la démocratie ».
Khadija NDIAYE