Les candidats enchainent les piques les uns contre les autres. Le candidat du Parti pour la construction du Sénégal (PCS) a souligné qu’: « Il ya des catégories de candidats qui veulent le changement, la rupture. Parmi eux, il y a deux camps. Il y a ceux qui font du bruit, mais qui ne peuvent rien diriger, ils ne parlent que de violence et tiennent des propos qu’ils changent au gré des événements. Eux, c’est un risque de leur confier le pays, ce sont des aventuriers, ils ne sont pas prêts, ils doivent attendre, c’est ça la réalité. Tu peux avoir la force politique sans être prêt à diriger un pays. »
Kamah de poursuivre que le Sénégal doit sortir de son statut de pays pauvre dans lequel ses actuels dirigeants l’ont plongé pour rejoindre le cercle des hubs pétroliers : «On ne peut pas confier le pays à des mains inexpertes. Moi en tout cas je ne le ferai pas, je suis le candidat qui est prêt. Je peux rassembler les candidats qui sont des élèves et des étudiants pour leur enseigner la gestion de l’État. Ceux qui sont trop chauds, je peux les calmer et leur apprendre à travailler.», a indiqué Boubacar Camara.
Mamadou LY