L’ancien député Cheikhou Oumar Sy ajoute sa voix au concert de récrimination contre la saisine de l’Assemblée nationale par le Pds suite à l’invalidation de la candidature de Karim Wade. Pour l’ancien député, “A ce stade du processus électoral, le président de l’Assemblée nationale n’aurait pas dû accepter la mise en mode fast track, d’une commission d’enquête parlementaire sans l’aval du Président de la République”, martèle Cheikhou Oumar Sy.
L’ancien parlementaire estime qu’il n y a pas de crise institutionnelle mais certains souhaitent hardiment à en créer une. “Le Conseil constitutionnel restera ferme et debout. L’élection présidentielle se tiendra le 25 février 2024 Incha Allah”, affirme-t-il.
Georges Nesta DIOP