Plus jeune des 20 candidats en lice pour la présidentielle du 25 février 2024, Pape Djibril Fall attire les attentions. Non pas pour son jeune âge, mais en raison de son profil. Sa candidature pourrait être assimilée à un mariage entre la jeunesse et la sagesse. Le fait que les jeunes se retrouvent dans sa candidature, ses entrées dans les foyers religieux facilitées par la maîtrise des versets coraniques et son éducation religieuse, constituent de réels atouts pour lui. Ces deux composantes servent de socle à toute société tradi-moderne comme la nôtre. Comme le surnomment ses proches, PDF met en avant des valeurs traditionnelles, religieuses et de droiture.
Son humilité, son sens de l’écoute et sa capacité à transformer des obstacles en opportunités font de lui un leader incontournable à l’aune du 21e siècle ; contexte dans lequel l’intelligence artificielle fait son bonhomme de chemin. A travers son discours constructif, il incarne une maturité extraordinaire. Cette marque de fabrique lui vaut ce respect à lui accordé dans le landerneau politique sénégalais et au-delà.
Ce comportement, il l’a fait prévaloir lors de notre entrevue dans le cadre d’un probable partenariat entre le groupe de presse Walf et la coalition qui porte sa candidature. Lors de notre tête-à-tête, en présence de mes collaborateurs, il avait fait montre d’une capacité d’écoute impressionnante. Il dégage cette impression à première vue à travers sa mise, mais aussi son regard instructif. Il dégage l’allure d’un sage. J’ai été impressionné par son ouverture d’esprit.
De Pape Djibril Fall, on retient un leader charismatique et cultivé. Il s’intéresse à tout, notamment aux questions géostratégiques. Formé à bonne école, car étant sorti du Centre des sciences et techniques de l’information (Cesti), ce journaliste-chroniqueur, a eu la chance de se frotter aux meilleurs de sa profession à travers des plateaux de télévision pour partager ses expériences, mais également pour consolider ses acquis sur divers domaines, notamment l’économie, la santé, les finances publiques, etc.
Par Me Cheikh NIASS