Les premières alertes sur les effets secondaires du vaccin AstraZeneca n’ébranlent pas le ministre de la Santé et de l’Action sociale.
Selon Abdoulaye DIOUF SARR qui annonce la mise en place d’un dispositif de pharmacovigilance, il n’y a pas de raison de s’affoler. Le ministre estime que si le vaccin était dangereux, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) allait le signaler et prendre des mesures. Et, indique-t-il dans l’APS,, “à ce jour l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) qui est véritablement pour nous le niveau d’appréciation de la scientificité des choses n’est pas venue nous demander de retirer le vaccin AstraZeneca”.
Suffisant, déclare le ministre, pour que “le Sénégal continue sa campagne de vaccination avec Sinopharm et AstraZeneca”.
Abdoulaye DIOUF SARR fait également remarquer que l’Agence européenne des médicaments n’a pas encore rejeté Astrazeneca. “le Sénégal sur la base des recommandations du Comité des experts et sur la base de la relation institutionnelle avec l’OMS suit la question dans le cadre d’une surveillance rapprochée pour prendre toutes les garanties en termes de gestion du vaccin”, a soutenu le ministre.
WALFNet