Le responsable du Front pour une Révolution Anti-impérialiste Populaire et Panafricaine (FRAPP)-France dégage ne fait pas confiance aux autorités.
Une méfiance exacerbée par l’affaire opposant Ousmane SONKO à Adji SARR. Selon Guy Marius SAGNA, elle montre que les tenants du pouvoir sont prêts à tout pour museler les empêcheurs de tourner en rond.
« Si une seule substance illicite est découverte au siège du FRAPP, c’est le président de l’APR, monsieur Macky SALL qui l’y aura introduite… Si mon nom apparait sur un seul document du MFDC, c’est le président de l’APR, monsieur Macky SALL qui l’y aura écrit. », écrit l’activiste sur sa page Facebook.
Pour Guy Marius SAGNA, « dans certaines guerres, on a vu des gens utiliser le sexe des femmes comme arme de guerre, en violant les femmes, en enceintant les femmes, en endommageant les sexes des femmes avec leurs armes… ». Et indique-t-il, c’est la même chose au Sénégal. «Impossible pour le président de l’APR Macky SALL et sa bande – qui jouent aux innocents – de faire croire aux sénégalais qu’ils n’utilisent pas les femmes comme armes de guerre actuellement. Adji SARR, Ndeye Khady NDIAYE, l’épouse de Birame Souleye DIOP, Fatima M’BENGUE. Toutes des victimes », dénonce-t-il.
WALFNet