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Entre la règlementation et le prix forfaitaire, les usagers dakarois ont choisi. A en croire El Hadji Abdou Karim SECK, rapporteur général de la Coordination des professionnels des transports routiers(CPTRS), la majorité préfèrent le “clando” au taxi ou ont plus accès au premier.
« Le Conseil exécutif du transport urbain à Dakar (CETUD) a relevé, dans une étude très scientifique, très bien élaborée du reste, que dans des déplacements urbains motorisés dans les zones de Dakar que la plupart des véhicules sont des clandos non autorisés. Ils sont à 12%, tandis que la part de marché du nombre de personnes déplacées par les taxis de ville est de 10%.Donc les clandos transportent 2% de plus que les taxis de ville », indique le porte-parole des transporteurs, dans les colonnes du journal Vox Populi.
Pourtant, observe El Hadji Abdou Karim SECK, les taxis paient beaucoup plus de taxes. Ce qui, à son avis, constitue une concurrence déloyale. « Dans les taxis urbains de ville, les chauffeurs ont des permis professionnels qui sont 100 fois plus chers que les particuliers. Ils payent le droit de stationnement et une licence de transport urbain. Les ‘Taxis-clandos’ ne payent rien et ce n’est pas normal. Ils payent à peine 21.000 F Cfa en un an. Soit quasiment ce que le taximan légal paie tous les mois. Et pourtant, on les laisse faire et on dit que d’autres types de transport sont tolérés à Dakar », déclare-t-il. Avant de mettre en garde : « Si on continue comme ça et que les routes ne sont pas réparées, parce qu’il n’y a pas assez d’argent, on va droit à la catastrophe ».
WALFNet