La mort de la responsable des femmes de PASTEF, tuée ce samedi à son domicile à Keur Massar, continue de faire réagir.
Après la classe politique, qui manifeste toujours son indignation, les organisations de défense des droits de l’homme élèvent également la voix. Dans un communiqué, Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) déploré ce meurtre et s’insurge contre les nombreux autres cas qui se sont dernièrement déroulés au Sénégal.
« ADHA demeure profondément préoccupée par l’ampleur des assassinats notés dernièrement sur l’ensemble du territoire national et exige des autorités compétentes que toute la lumière soit faite sur cette situation alarmante de sorte que toutes les responsabilités soient situées et les sanctions méritées, appliquées en toute rigueur et en toute impartialité, conformément aux dispositions de notre Code Pénal », souligne l’ONG qui « rappelle à l’État son rôle de garantir la sécurité des personnes et biens ».
Selon l’organisation de défense des droits de l’homme, « de réelles mesures doivent être prises et appliquées pour sauvegarder l’intégrité et la sécurité des populations pour que de tels faits ne se reproduisent ».
WALFNet