La démission de Me Ousmane Alioune NGOM intéresse Birahim SECK. Selon ce membre du Forum civil, c’est une bonne occasion pour la justice mais également l’Office nationale de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC) de l’interpeller sur sa gestion passée en tant que ministre de l’Intérieur, sous le régime de WADE.
«D’un non-évènement, la démission de ME Ousmane NGOM de l’Assemblée nationale devient une aubaine. Au-delà du jeu politicien funèbre qui continue, il ne jouit plus de l’immunité parlementaire. L’occasion ne s’est-elle pas présentée pour que la justice et /ou l’OFNAC pour le mettre en examen sur le marché irrégulier de passeports numérisés d’un montant de 118 milliards F CFA qu’il a signé le 03 septembre 2007 ? En plus, Monsieur NGOM doit s’expliquer sur la gestion surréaliste du «Projet SECURIPORT » dont le rapport se trouve entre les mains du président de la République. Que dire aussi du deuxième «premier Lingot d’or », entre autres dossiers. J’espère juste qu’on ne nous servira pas la formule Dilma-Lula», peut-on lire sur sa page Facebook visitée par «L’As».
