Le conseiller juridique du chef de l’Etat n’entend pas laisser les partisans du « OUI » battre campagne seuls sans les appuyer de temps à autre. Le juriste, qui a fortement participé à alimenter la cacophonie sémantique qui a entouré « l’avis ou la décision » du Conseil constitutionnel, s’est encore exprimé sur les ondes d’une radio de la place.
« Le président n’a rien à craindre puisque ce n’est pas une élection mais une consultation. Je suis sûr que le président de la République ne sera pas content que le pas démocratique, le pas géant d’approfondissement de la démocratie qu’il voulait faire accomplir à la démocratie sénégalaise ne se soit pas réalisé », a, notamment, soutenu le professeur, membre du comité de rédaction de l’actuelle Constitution que Macky Sall veut faire réviser.
Walfnet