Selon les Reswmistes, la liberté d’expression ne justifie pas celle de blasphémer, de blesser l’autre dans sa foi et dans sa croyance. “L’irrévérence revendiquée par certains au nom de cette liberté d’expression est une faute méprisable et condamnable”, lit-on sur la note.
« Quiconque le veut, qu’il croit, et quiconque le veut qu’il mécroie » mais personne n’a le droit de dégrader et de piétiner la dignité d’autrui, martèlent Idy et ses camarades.