Le pape François a atterri vendredi après-midi à l’aéroport d’Entebbe, en Ouganda, deuxième étape de son voyage apostolique sur le sol africain. C’est peu après 15 heures (14 heures TU) que l’appareil transportant le souverain pontife a atterri sur l’aéroport d’Entebbe, à une quarantaine de km de Kampala, au son des percussions. Le pape François y séjournera pendant moins de quarante-huit heures avant de s’envoler le 29 novembre pour la Centrafrique, dernière étape de son premier périple africain. À l’aéroport, le pape a été accueilli par le président Yoweri Museveni, au pouvoir depuis près de 30 ans.
De nombreux Ougandais, des hommes et des femmes de tous âges, se sont également massés le long du trajet menant au palais présidentiel, où le pape a prévu de rencontrer d’autres dirigeants du pays et le corps diplomatique accrédité en Ouganda. Le pape François a atterri vendredi après-midi à l’aéroport d’Entebbe, en Ouganda, deuxième étape de son voyage apostolique sur le sol africain. C’est peu après 15 heures (14 heures TU) que l’appareil transportant le souverain pontife a atterri sur l’aéroport d’Entebbe, à une quarantaine de km de Kampala, au son des percussions. Le pape François y séjournera pendant moins de quarante-huit heures avant de s’envoler le 29 novembre pour la Centrafrique, dernière étape de son premier périple africain. À l’aéroport, le pape a été accueilli par le président Yoweri Museveni, au pouvoir depuis près de 30 ans. De nombreux Ougandais, des hommes et des femmes de tous âges, se sont également massés le long du trajet menant au palais présidentiel, où le pape a prévu de rencontrer d’autres dirigeants du pays et le corps diplomatique accrédité en Ouganda. Sur Twitter, François remercie déjà l’Ouganda pour avoir ouvert ses portes aux réfugiés qui fuient les conflits à répétition dans les Grands Lacs. Le pape attendu à Munyonyo Avant la fin de la journée, le pape François a prévu aussi de se rendre à Munyonyo, dans les environs de la capitale Kampala, pour saluer les catéchistes. Un passage hautement symbolique : c’est dans ce quartier que le roi Mwanga avait condamné à mort en 1886 de jeunes chrétiens qui avaient refusé de renoncer à leur foi.